Troisième Partie
1) Technique Gestuelle (Fondamentaux de la passe)
Anatomie
Axe antérieur frontal
Tête
Gainage de la tête
Hauteur du front
Yeux (28, 29)
Suivent le ballon
Lecture de trajectoire
Fixe le ballon
Main
Préparation vers l’arrière
A 15 centimètres du front
Doigt (page 32)
Souple (amortir)
Tous touchent le ballon (repère ballon qui tourne deux
fautes mauvais contacte mauvais coordination)
La conduction opère dans la pulpe de doigt
Index aligné
Pression latérale dans le ballon
Fenêtre triangulaire
Poignet (page 28, 29)
Ferme
Cassé vers l’antérieur
Pousse vers l’extérieur, jusque au changement de direction
Bras
Pousse Vers l’avant
Bras ferme
Coudes
Ecartes, alignes et plies
Dos
Il est droit
Épaules
Orientés
Plan inférieur
frontal
Pied (page 27)
Une derrière l’autre (avancement de jambes contraire a
l’orientation) (poids du corps sur la jambe avant (recherche de puissance par
le redressement de jambes).
Dans une même ligne (recherche de puissance (action
meilleur coordonnée (nerveux) (action en tétanos)
Déplacement : (latérale, pas chassé ou pas couru le
principes est l’économie de temps et d’énergie)
Le point oriente la destination
Genoux
Fléchis dans un angle de 130° environ
Plan transversal
Plan imaginaire du corps incliné (page 33)
Obliquité du corps
Inertie du corps vers l’avant
Déséquilibre rétabli au dernier appui
Capacités physiques sollicites :
Coordination : synonyme d’adresse il détermine avant tout le
processus de contrôle et de régulation de mouvement elle nous permet de
maîtriser nos actions dans de circonstances prévisibles ou imprévisibles
(adapté) e
Vitesse/puissance, La force ne se manifeste jamais en sport sous une
forme abstraite mais a travers d’une combinaison de facteur physiques que
condition la performance. La vitesse et la capacité que permet d’accomplir des
actions motrices en un temps minimale.
Mobilité : capacité qu’a les sportif de faire de mouvements de
grande amplitude faisant jouer une ou plusieurs articulations
Physiologie
Système nerveux
(Différentiation
neuronal moteur)
Système du cervelet et tronc cérébrale (automatisme) (plus
rapide) (distributeur)
Système du cortex (analyse
d’information) (plus lente) (passeur Le Lucky Luke de choix)
Caractéristique
Mouvement complexe
utilisant tous le partis corporelle (de replie sur soi et d’extension)
Amortir retenir renvoyer (mouvement décortique)
Puissance jambe, ceinture, bras (trois axes de force)
(puissance)
Finir le mouvement d’extension
(adresse)
Précision (doigt)
Orientation (corps/épaules)
1)
Technique
d’optimisation Tactique
Erreur
(Ne pas tirer le bras en
arrière, le contact avec le ballon et plus longue)
Soutien
Suspension
Avantage : cache le jeux
(aucune information du axe inférieur)
Désavantage : nouveaux
timing, aucune force en provenance des appuis (page 49)
La passe arrière
Au moment du contact il y a un
redressement en arrière du dos, la prise est au dessous de la tête (page 48)
3)
Approche psychologique de la passe
Anxiété
Anxiété à cause de peur de la réussite. (Activation déplacé sur soi-même) environnement positive et orientation productive.
Traitement du ballon sentir le
ballon (faire à repasser interagir avec l’élément)
Attitude
Jamais sanctionner quelqu’un par un manque d’aptitude technique (on méprise la manque de volonté et courage et le choix non intelligent.)
1) La passe du passeur
Se caractérise par
Cacher
Le passeur cache tactiquement ses jeux avec son corps. Plus il anticipe l’action plus de temps aurais pour attendre et il donnera le plus tard possible les information corporelle aux adversaires. Particulièrement lors de la passe arrière certain passeur utilisent un technique d’orientation tardive de poignet avec une force de doigt ressort avec feinte de poignet.
Lecture
Le passeur a dans sa tête toutes
les lignes d’attaque et de défense de l’adversaire
Dans chaque ligne il y de
rapport de force savoir ou se trouve le déséquilibre a ma faveur. (Le volley se
joué avec l’équipe adversaire et n’est pas avec me force mes plutôt avec mes
faiblesse)
Il prendra des informations
précis à chaque rotation avant la mise en jeux (position de contreur centrale,
ailier rentre au place vers le mires)
(Défenseur avancé). Et surtout
pendant la passe (omniscience et dernier coup d’œil. Centraux se déplacent tôt,
feinte de centraux ou des ailées)
Feinte de suspension
Changement de rythme.
Rapidité de mouvement et de
décision tardive (équation (choix
prémédite + qualité de la réception)-(choix du bloque)
Capacité du
sportif de résister à la fatigue
Ralph
Surtout en volley-ball, à cause de
l'instabilité de la réception, on ne domine pas le point de départ de l'action.
Quand la réception est bonne, le passeur subit une pression tactique, il lui
faut battre le contre. Quand la réception est mauvaise, il lui faut faire des
passes parfaites et précises. Cette indécision oblige le passeur à préparer des
programmes différents ; souvent, les variantes sont très subtiles mais elles
doivent tenir compte de la situation et de la rotation. Plus les changements
sont subtils, plus ils sont difficiles à identifier et à gérer. Le passeur doit
maîtriser les rythmes du jeu :
La gestion du temps doit être optimale.
Une négligence causée par un manque de préparation, d'engagement et de vitesse
peut faire basculer l'inertie de jeu et la capacité de prise de décision. Le
passeur doit apprendre à penser en séries, lier les décisions pour en retirer
un effet cumulatif. Il faut préparer les décisions le plus tôt possible. Le
passeur doit :
Les prises de décisions constituent la
difficulté et la surcharge de travail attaché au poste de passeur. Tout doit
partir de chiffres concrets. L'entraîneur doit vite voir quand le passeur a
perdu l'initiative (par exemple, quand ce dernier n'exploite pas un avantage).
2)
Fondamentaux tactiques du passeur
Lecture
Avant
lecture de lignes pendant suivi surtout de centrale (véritable duel).
1 combinaison, 1 ballon de
sécurité, le passeur joué avec 4 attaquent ou 5 quant le libero n’est pas dans
la touche en permanence (le combinaison et ballon de sécurité doive tenir
compte du 5 joueurs)
3)
Outils d’optimisation de la passe
Les
statistiques
Avant,
en temps real, qualité de notre réception selon rotation, efficacité d’attaque
selon rotation, fréquence d’attaque adverse, qualité de défense selon rotation.
La planification
Entraînement technique
(Succession
de coordinations motrices idéales) et tactique comportement rationnel réglé par
notre propre performance et celle de l’adversaire
Fluidité de communication
(Mise
en place de code de communication entre attaquent, passeur et entraîneur)
Diététique
La
nourriture, de glucide pour l’endurance et de sal minéraux pour la
communication neuronale. (Potassium)
La programmation annuelle et de
cycles
La vidéo.
De lui et de l’adversaire.
3) Profil psychologique du passeur
Spécialiste,
catalyseur,
Le
passeur est un spécialiste de la passe, 80% de ballon passe entre se main se
choix décident en grand partie l’issue du match il est le catalyseur. Le
passeur sont vos main deux facteur a la réussite leadership communication. Le
jouer clé.
Leader
Le passeur est un leader car il est
supposé de savoir dans quel direction va l’équipe (il fournir toujours le ressources) trait
sont l’intelligence, l’assurance, l’indépendance et la confiance en soi, sont
de meneurs, quelle que soit la situation ou il se trouvent, ils sont tenaces,
autoritaires, disposes a subir la pression, murs au plan émotif, indépendants
dans leur réflexion, réalistes dans leurs perspectives. ON NAIT PAS DE LEADER
ON LE DEVIENNE. On est leader car on est reconnu par les autres en tell que ça.
En générale il sera un leader orienté vers la tache, motive par la performance et la productivité.
Communicateur
Communication efficace, l’écoute
constitue 40% de la communication.
Photocopie pages
Technique 401, 402, 403
Tactique 448, 449.
Ralph
Le volley-ball de haut niveau est
caractérisé par la vitesse de jeu. Le passeur en particulier doit prendre des
décisions dans une crise de temps et être de plus en plus précis. Ces décisions
prises dans un temps très court peuvent avoir une importance capitale. C'est
pour cela que le grand passeur doit comprendre la notion d'économie,
c'est-à-dire aucun effort, pensée, mouvement, et geste superflu. A cela, il
faut ajouter l'utilisation optimale du rythme, du temps, de l'espace, de
l'énergie et finalement la notion de flux (de mouvements, de masse, de jeu, de
situation, d'énergie). Le passeur de haut niveau maîtrise ses sensations
internes. L'exécution physique de la passe est une question de répétition.
La vitesse de pensée du passeur du
passeur es t essentielle pour le passeur, il doit aussi rester concentré et
maintenir équilibre et stabilité émotionnelle malgré une pression très
importante. Souvent la décision prise en un instant par le passeur peut décider
du match. Après le coup de sifflet de l'arbitre, il y a peu de temps morts pour
analyser et choisir.
5) La passe du non passeur (page
30, 31).
Maîtriser l’angoisse.
Le non passeur doive apprendre à maîtriser son intervention, à vaincre l’angoisse de faire une passe ou de relancer, il doive tactiquement croisse sa balle avec une technique a deux pieds, la passe se fait toujours de 2/3 par le poste 2, les attaquent n’est font pas de passe en arrière, on va tous au soutien, croisse ou trois mètres au centre, le centraux face à l’attaquent.(diminuer l’angoisse et maîtriser grâce a une utilisation complémentaire de relance).
6) Rapport passeur attaquant
Le passeur doit bien connaître
est synchronisé l’espace et le temps de ses attaquants, de règles de
optimisation de l’attaque en fonction de la qualité de la réception doive être
instauré (par exemple le travail au centre éloignement pour respecter l’angle
d’attaque, marquage d’angle d’attaque).
D’autre part les attaquent
doive se respecté entre eux mais surtout respecté la charge de responsabilité
qui porte le passeur, il doive être épargné complètement de tout remarque.
La semaine du
passeur
EXEMPLE D'UNE SEMAINE DE TRAVAIL POUR LE PASSEUR À L'ÈRE DE L'INFORMATION
Lundi : S'occuper des blessures....
L'équipe et l'entraîneur étudient le match du samedi précédent. Un montage vidéo permet de mettre en évidence les points clés et les leçons à tirer. Un entraînement léger met en évidence les faiblesses du match passé et essaie de mieux les comprendre, tout en commençant la préparation pour le prochain match.
Les joueurs doivent déjà avoir une idée globale du prochain adversaire. Sachant que dans la prochaine équipe, 4 joueurs servent smashé, le passeur devra beaucoup travailler la liaison pénétration-passe, les passes sur moyennes et mauvaises réceptions, les couloirs arrières et les passes rapides sur des balles éloignées du filet. Les entraîneurs commencent à explorer les possibilités d'un plan de jeu. Les joueurs terminent la journée avec une séance de musculation pour récupérer.
Tandis que le passeur observe et discute le jeu adverse avec le staff d'entraîneurs, il prend des notes pour établir une vue globale du jeu adverse, tout en étudiant les statistiques de chaque rotation. Le travail personnel a commencé.
Mardi :
Discuter de ses impressions et du plan de jeu avec les entraîneurs. Tout d'abord, évaluer la profondeur et la forme des joueurs de son équipe, en déduire les forces et les faiblesses des rotations d'un point de vue offensif. Déterminer ensuite les besoins et formuler les rapports de force possibles.
Commencer à utiliser les fiches d'observation et les statistiques. Le processus de comparaison, l'évaluation des actions possibles et des probables a commencé. De plus, il faut lier toutes les décisions à la philosophie et aux tendances adverses (il ne joue presque exclusivement qu'en contre de lecture). Passeurs, joueurs et entraîneurs, après l'étude du montage vidéo, échangent leurs opinions et points de vue. L'inconscient collectif a un rôle important à jouer si on veut obtenir l'adhésion totale de l'équipe.
L'entraînement qui suit permettra d'essayer de nouvelles idées et une ébauche de plan de jeu. Après l'entraînement, une autre séance vidéo peut permettre de montrer le but de ces actions. Les joueurs, surtout le passeur, doivent déjà commencer à visualiser leur rôle individuel et collectif pour le match à venir.
Le second entraînement doit permettre de travailler les éléments clés du plan de jeu, rotation par rotation. Ensuite, il faut segmenter l'entraînement en phase de jeu : changement de service, transition par point, cadeau, après un soutien.... Il faut analyser le jeu globalement mais aussi par séquences. Les différentes phases de jeu demandent des décisions différentes. Il est important de tout travailler mais l'utilisation des séquences et des segments permet d'approfondir la préparation de l'équipe. L'entraîneur, ainsi que le passeur doivent comprendre la notion d'accent. Finir la journée par un travail de souplesse et de prévention.
Chez lui, le passeur étudie une copie du montage vidéo, prend des notes, les compare aux notes des matches passés, au plan de jeu. Il doit en tirer les grandes lignes possibles, les tendances de jeu et les invariants.
Avant l'entraînement du mercredi, le passeur doit :
Mercredi :
Analyser, détailler, discuter de manière approfondie avec l'entraîneur adjoint pour construire un algorithme d'attaque en élaborant des solutions possibles par rapport aux hypothèses. Il faut avoir étudié toutes les possibilités d'avantage physique. Passeur et entraîneur évaluent l'effet et l'utilisation des "individualités marquantes".
Il est important de comparer le montage vidéo avec le plan de jeu, les seuils statistiques voulus, l'efficacité des rapports de force et aussi avec le montage vidéo de l'adversaire. Commencer à éliminer le superflu, séparer l'excellent du bon, et le bon du moyen.
Le passeur doit très vite percevoir ce qui marche de ce qui marche moins bien, mais qui constitue un élément essentiel du plan de jeu. Ce procédé permet de focaliser le travail et les besoins du moment. Par exemple, il faut travailler le jeu rapide quand les balles sont loin du filet.
L'entraîneur et le passeur peuvent utiliser les ralentis pour mieux étudier la défense adverse. L'analyse image par image permet une analyse fine et exacte des temps de jeu. Il faut alterner analyse vidéo et entraînement pour mettre en valeur, faire ressortir et comprendre les points clés.
De combien
de temps dispose-t-on ? Qu'est-ce qu'on voudrait faire ? Quelles sont les
possibilités réelles ? De combien de temps a-t-on besoin ? En alternant analyse
vidéo, étude de possibilités et discussion avec les entraîneurs, le passeur
peut maîtriser le plan de jeu. Il faut bien faire ressortir les possibles.
Finir la journée par un travail de saut et de récupération spécifique
(sauna...).
Avant l'entraînement du jeudi, le passeur doit finaliser le plan écrit
JEUDI :
A la vidéo, faire une étude approfondie du montage avec une évaluation critique du plan de jeu.
Travailler le changement de service, commencer par un travail où sont affinées les inter-actions. Finir l'entraînement par une mise à l'épreuve du passeur, le 6 de base devant être capable de tourner 12 fois d'affilée contre la 2ème équipe.
A l'entraînement du soir, travailler les joueurs clés. Ensuite, enchaîner sur ce qu'il est possible de faire dans les situations difficiles. Où et comment donner la balle sur contre-attaque et après des situations de soutien ? Surtout quel choix et quelle passe faire pour gérer les séries, les fins de sets et les fins de match ?
Finir avec une analyse vidéo. Le passeur apprend à reconnaître les situations clés et élimine tout ce qui est superflu et peu sûr. Chez lui, il se détendra et rêvera un peu en espérant que le sommeil sera fructueux.
VENDREDI :
Comparer le montage vidéo de l'adversaire avec la vidéo de l'entraînement du jeudi. Les montages ne doivent pas durer plus de 10 minutes et se concentrer sur l'essentiel. Le passeur ou l'entraîneur ne peuvent jamais anticiper toutes les décisions, toutes les situations.
Le passeur doit donc apprendre à apprendre et à être capable de gérer ou de faire évoluer les systèmes. Cependant il faut beaucoup de travail préalable pour contrôler les situations difficiles avec pression et crise de temps.
Entraîner les points clés et les situations difficiles. Le passeur doit être le plus près possible de la réaction "stimulus-réponse". Il faut aussi affiner les rapports de force importants dans chaque rotation. Travailler aussi sur les besoins individuels. Finir avec l'exercice des 12 rotations d'affilées.
Les joueurs et le passeur devraient regarder la vidéo à la maison, munis d'un plan de match écrit.
SAMEDI :
La séance du matin doit porter sur les besoins individuels. Avant le match, revoir le montage vidéo et récapituler le plan, tout en se concentrant sur les points essentiels. Pendant le match, il faut :
Le volley-ball de haut niveau est caractérisé par la vitesse de jeu. Le passeur en particulier doit prendre des décisions dans une crise de temps et être de plus en plus précis. Ces décisions prises dans un temps très court peuvent avoir une importance capitale. C'est pour cela que le grand passeur doit comprendre la notion d'économie, c'est-à-dire aucun effort, pensée, mouvement, et geste superflu. A cela, il faut ajouter l'utilisation optimale du rythme, du temps, de l'espace, de l'énergie et finalement la notion de flux (de mouvements, de masse, de jeu, de situation, d'énergie). Le passeur de haut niveau maîtrise ses sensations internes. L'exécution physique de la passe est une question de répétition.
La vitesse de pensée du est essentielle pour le passeur, il doit aussi rester concentré et maintenir équilibre et stabilité émotionnelle malgré une pression très importante. Souvent la décision prise en un instant par le passeur peut décider du match. Après le coup de sifflet de l'arbitre, il y a peu de temps morts pour analyser et choisir.
Surtout en volley-ball, à cause de l'instabilité de la réception, on ne domine pas le point de départ de l'action. Quand la réception est bonne, le passeur subit une pression tactique, il lui faut battre le contre. Quand la réception est mauvaise, il lui faut faire des passes parfaites et précises. Cette indécision oblige le passeur à préparer des programmes différents ; souvent, les variantes sont très subtiles mais elles doivent tenir compte de la situation et de la rotation. Plus les changements sont subtils, plus ils sont difficiles à identifier et à gérer. Le passeur doit maîtriser les rythmes du jeu :
La gestion du temps doit être optimale. Une négligence causée par un manque de préparation, d'engagement et de vitesse peut faire basculer l'inertie de jeu et la capacité de prise de décision. Le passeur doit apprendre à penser en séries, lier les décisions pour en retirer un effet cumulatif. Il faut préparer les décisions le plus tôt possible. Le passeur doit :
Les prises de décisions constituent la difficulté et la surcharge de travail attaché au poste de passeur. Tout doit partir de chiffres concrets. L'entraîneur doit vite voir quand le passeur a perdu l'initiative (par exemple, quand ce dernier n'exploite pas un avantage).
DIMANCHE : Jour de repos.
Penser,
réfléchir sur le match de samedi tandis que les entraîneurs préparent la
critique du match de la veille. Il faut évaluer la performance de façon
concrète pour évaluer la valeur du plan de match précédent et pour aborder le
prochain avec des éléments concrets